Je croyais qu’elle était un écrin de beauté

Et qu’elle cultivait son goût de liberté

Dans le respect de l’autre et la fraternité

Mais de sombres apôtres l’ont contaminée

Devant cette violence généralisée

Que j’ai mal à ma France sale et dégradée !

Elle a perdu le fil de la réalité

Dans des actes débil’s et crim’s organisés

Qu’est-elle donc devenue la belle et « douce France »

Ce pays éperdu d’une « tendre insouciance »

Que chantaient les joyeux chansonniers et poètes

Qui nous rendaient heureux et savaient faire la fête ?

Cette France amoureus’ de justice et de droit

Qui se savait chanceuse à pouvoir faire des choix

Mais qui savait aussi qu’elle avait des devoirs

Pour lendemains remplis d’équilibre et d’espoir

Raconté dans des livres, nombreux nous enviaient

Ce si bel art de vivre que d’autres espéraient

Mais que croyez-vous donc qu’ils pensent aujourd’hui

De cette insurrection qui détruit ce pays ?

Je croyais qu’elle était France civilisée

Et qu’elle cultivait son goût de liberté

Dans le respect de l’autre et la fraternité…

Dans l’intérêt des nôtr's, tâchons de raisonner

Afin que nous revienne l'envie de l'aimer

Et que cela ramène la sérénité